grande révolte au Mesnil Amelot /Solidarité avec les retenus

Ce soir les révoltes explosent au Mesnil AMELOT, les retenus sont sur les toits , la police les pourchassent à coup de lacrymogènes.

les justes révoltes ne sont plus contenues : les mois de prisons de ferme maintenant systématiques suite au refus de test PCR , pour certains déjà 6 à 9 mois d’emprisonnement, et à la sortie à nouveau les 3 mois dans les CRA ; Alors que nul ne peut être punit 2 fois pour le même délit ! Art. 55 , mais les JLD obéissent et « disent leur droit « celui qui sévit actuellement, sous le ministère du ministre de la justice qui se disait » le ministère des droits de l’homme » et celui de ce gouvernement

Jamais machine à expulser n’a été aussi loin dans la répression et violation des droits élémentaires.

Les retenus n’ont plus rien à perdre.

La crise du COVID est révélatrice de ces fractures , les retenus ravalés à de simples chiffres à réaliser quel qu’en soit le pris

les préfets distribuant en prime et systématiquement les interdictions de retour sur le territoire : l’état poursuit sa chasse aux migrants pendant que la riche Europe regardent les barques vides s’échouer sur ses plages.

Soutenons les justes révoltes des CRA , ce gouvernement est allé trop loin dans sa chasse aux migrants et politique d’emprisonnement et d’expulsion

Solange

Ce soir les révoltes explosent au Mesnil AMELOT, les retenus sont sur les toits , la police les pourchassent à coup de lacrymogènes.

les justes révoltes ne sont plus contenues : les mois de prisons de ferme maintenant systématiques suite au refus de test PCR , pour certains déjà 6 à 9 mois d’emprisonnement, et à la sortie à nouveau les 3 mois dans les CRA ; Alors que nul ne peut être punit 2 fois pour le même délit ! Art. 55 , mais les JLD obéissent et « disent leur droit « celui qui sévit actuellement, sous le ministère du ministre de la justice qui se disait » le ministère des droits de l’homme » et celui de ce gouvernement

Jamais machine à expulser n’a été aussi loin dans la répression et violation des droits élémentaires.

Les retenus n’ont plus rien à perdre.

La crise du COVID est révélatrice de ces fractures , les retenus ravalés à de simples chiffres à réaliser quel qu’en soit le pris

les préfets distribuant en prime et systématiquement les interdictions de retour sur le territoire : l’état poursuit sa chasse aux migrants pendant que la riche Europe regardent les barques vides s’échouer sur ses plages.

Soutenons les justes révoltes des CRA , ce gouvernement est allé trop loin dans sa chasse aux migrants et politique d’emprisonnement et d’expulsion

Solange

*AFP* Mis à jour le 29/07/2021

  Mutinerie dans un centre de rétention proche de Roissy, trois
  personnes s'échappent

<https://www.nicematin.com/index.php/sujet/france>

"Depuis plusieurs jours, des personnes retenues tentent de s'enfuir. La situation est tendue", selon la responsable d'une association locale de soutien aux migrants et réfugiés.

Une "mutinerie" a éclaté au centre de rétention administrative (CRA) du Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne) au cours de laquelle trois personnes retenues se sont échappées dans la nuit de mercredi à jeudi, a-t-on appris de source policière et auprès de la Cimade.

Plusieurs étrangers enfermés ont tenté de s'évader entre 23h00 et 1h00.

Deux personnes ont été blessées "légèrement" à la tête, l'une en tombant d'un toit et l'autre avec une branche, indique une source policière.

"Depuis plusieurs jours, des personnes retenues tentent de s'enfuir. La situation est tendue", a déclaré à l'AFP Mathilde Godoy, responsable Ile-de-France de la Cimade, association de soutien aux migrants et réfugiés, disposant d'une antenne sur place.

Le CRA du Mesnil-Amelot est le plus grand de France, situé à seulement quelques centaines de mètres des pistes de l'aéroport de Roissy.

Le 20 janvier, dans ce CRA de Seine-et-Marne, des étrangers avaient déclenché un incendie pour protester contre une décision de justice les maintenant en rétention car ils avaient refusé un test PCR, nécessaire à leur expulsion du territoire français.
Depuis plusieurs mois, des migrants refusent le dépistage du coronavirus afin d'échapper à l'expulsion.

En février, la sénatrice EELV Esther Benbassa avait réalisé une visite surprise dans ce CRA et avait dénoncé les conditions de rétention des étrangers, appelant à la suppression de ces centres.

AFP Mis à jour le 29/07/2021

Mutinerie dans un centre de rétention proche de Roissy, trois personnes s’échappent

« Depuis plusieurs jours, des personnes retenues tentent de s’enfuir. La situation est tendue », selon la responsable d’une association locale de soutien aux migrants et réfugiés.

Une « mutinerie » a éclaté au centre de rétention administrative (CRA) du Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne) au cours de laquelle trois personnes retenues se sont échappées dans la nuit de mercredi à jeudi, a-t-on appris de source policière et auprès de la Cimade.

Plusieurs étrangers enfermés ont tenté de s’évader entre 23h00 et 1h00.

Deux personnes ont été blessées « légèrement » à la tête, l’une en tombant d’un toit et l’autre avec une branche, indique une source policière.

« Depuis plusieurs jours, des personnes retenues tentent de s’enfuir. La situation est tendue », a déclaré à l’AFP Mathilde Godoy, responsable Ile-de-France de la Cimade, association de soutien aux migrants et réfugiés, disposant d’une antenne sur place.

Le CRA du Mesnil-Amelot est le plus grand de France, situé à seulement quelques centaines de mètres des pistes de l’aéroport de Roissy.

Le 20 janvier, dans ce CRA de Seine-et-Marne, des étrangers avaient déclenché un incendie pour protester contre une décision de justice les maintenant en rétention car ils avaient refusé un test PCR, nécessaire à leur expulsion du territoire français.
Depuis plusieurs mois, des migrants refusent le dépistage du coronavirus afin d’échapper à l’expulsion.

En février, la sénatrice EELV Esther Benbassa avait réalisé une visite surprise dans ce CRA et avait dénoncé les conditions de rétention des étrangers, appelant à la suppression de ces centres.